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| Structuration de l'exposé (avec ou sans titres pour chaque partie) | 0,5 |
| Schéma(s) fonctionnel(s) de la régulation : les notions à faire fiqurer :
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Modifications liées à l'HCG :
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1,5 |
| Modifications liées à la pilule : La pilule contraceptive oestro-progestative prise oralement et régulièrement bloque l'ovulation en agissant sur la régulation du cycle ovarien :
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2 |
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Etude de la coupe :
âge de la trachy-andésite < âge du basalte gris < âge du basalte noir et du basalte porphyrique |
1,5 |
Etude du texte et des données chiffrées :
âge du basalte noir < âge de la phonolite < âge du basalte porphyrique |
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| Bilan : chronoloqie de la mise en place des 5 roches volcaniques : de la plus ancienne à la plus récente : trachy-andésite, basalte gris, basalte noir, phonolite, basalte porphyrique. |
0,5 |
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| document 1 Vers - 440 Ma, - 365 Ma, - 250 Ma, - 200 Ma et - 65 Ma, une diminution importante et rapide du nombre de familles (entre 50 et 200 familles disparaissent) est suivie d'une augmentation du nombre de familles (entre 50 et 150 familles apparaissent). Ce sont des extinctions massives et rapides, suivies d'apparitions. Ces 5 périodes d'extinction (séparées par des périodes de plus grande stabilité du nombre des familles) sont les 5 crises majeures citées par Buffetaut. |
1,5 |
| document 2 A chacune de ces périodes, on observe des cratères d'impact (d'au moins 90 km de diamètre), associés pour les trois plus récentes : - 250 Ma, - 200 Ma et - 65 Ma, à d'importantes émissions volcaniques. |
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| document 3 Les éruptions volcaniques comme les chutes de météorites ont pour effets une diminution de l'intensité lumineuse et une diminution de la température à l'échelle du globe. |
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| Mise en relation : A - 440, - 365, - 250, - 200 et - 65 Ma, des événements géologiques majeurs, internes (éruptions) et/ou d'origine extraterrestre (chute de météorites), sont survenus et ont eu des conséquences importantes sur l'environnement planétaire (baisse de transparence de l'atmosphère, baisse de la luminosité, baisse des températures). Hypothèses proposées : - H1 : les chutes de météorites (- 440 Ma, - 365 Ma) ou - H2 : la combinaison des éruptions massives et des chutes de météorites (- 250 Ma, - 200 Ma et - 65 Ma), sont à l'origine d'une modification brutale de l'environnement, provoquant la disparition massive et rapide d'espèces et donc des crises biologiques majeures. |
1,5 |
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| document 1 La répartition des bactéries est quantitativement plus importante autour du filament d'algue dans les zones éclairées par les longueurs d'onde 480nm et 680nm. Les bactéries recherchant le dioxygène, cela signifie que l'algue produit plus de dioxygène aux longueurs d'onde 480nm et 680nm. |
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| document 2 Lecture du graphique : les concentrations en 16O2 et 18O2 diminuent à l'obscurité à la même vitesse (pentes parallèles) : les algues respirent indifféremment les deux formes de dioxygène dissout dans le milieu. Seule la concentration en 16O2 croit à la lumière : du dioxygène est produit à la lumière par les algues vertes (photosynthèse). Ce dioxygène ne peut provenir que de H216O. |
1,5 |
| document 3 Un dégagement de dioxygène se produit quand la suspension est éclairée et en présence du réactif de Hill : réaction photochimique nécessitant de la lumière et un accepteur d'électrons. Dans les conditions naturelles, c'est l'accepteur d'électron R présent dans le stroma des chloroplastes qui permet cette réaction. Non exigés : La diminution de la teneur en dioxygène à l'obscurité ou en absence de réactif de Hill est due à la respiration {présence de mitochondries). L'accepteur R est trop dilué dans la suspension pour intervenir dans les réactions. |
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| Bilan Bilan : enchaînement des mécanismes A la lumière, et plus particulièrement pour les longueurs d'onde 480nm et 680nm, des réactions d'oxydoréduction réalisées dans les chloroplastes produisent du dioxygène à partir de l'eau, et des composés réduits RH2 à partir des accepteurs R. |
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